La Bauxaline® est un matériau humide. Il n’émet pas de poussières au transport ni lors de son dépôt sur le site. Sur place, il va sécher et durcir.
L’érosion éolienne peut générer des envolements de poussières.
Grâce aux échanges avec les communautés environnantes et plus particulièrement avec les riverains du site de Mange Garri, Alteo Gardanne a engagé un plan d’actions important pour réduire les envolements de poussières de résidus de bauxite.
Les relevés de poussière sont effectués tous les 15 jours par un organisme externe.
4 expertises récentes confirment que l’impact radiologique lié aux poussières en provenance du site de Mange-Garri est faible.
Air PACA, association agréée de surveillance de la qualité de l’air par le ministère de l’environnement prépare pour 2017 un programme de surveillance destiné à mieux connaître l’impact du site de stockage de Mange Garri sur les teneurs et la nature des particules inhalables et sédimentables.
Plusieurs travaux universitaires sont également menés sur les résidus de bauxite sous l’égide de l’Observatoire Hommes Milieux du bassin minier de Provence. Alteo y contribue en toute transparence.
Grâce aux échanges avec les communautés environnantes et avec les riverains du site de Mange Garri, Alteo Gardanne a engagé un plan d’actions important pour réduire les envolements de poussières de résidus de bauxite
Deux cabinets d’étude et l’IRSN en 2015 et 2016 confirment cette conclusion.
Air PACA et l’Observatoire Hommes Milieu du bassin minier de Gardanne complètent la surveillance d’Alteo
L’entreprise Alteo Gardanne et la mairie de Bouc-Bel-Air ont signé le 1er septembre 2015 une charte qui installe un dispositif participatif pour le suivi et la surveillance du site de stockage de Mange Garri
Grâce aux échanges avec les communautés environnantes et avec les riverains du site de Mange Garri, Alteo Gardanne a engagé un plan d’actions important pour réduire les envolements de poussières de résidus de bauxite
Deux cabinets d’étude et l’IRSN en 2015 et 2016 confirment cette conclusion.
Air PACA et l’Observatoire Hommes Milieu du bassin minier de Gardanne complètent la surveillance d’Alteo
L’entreprise Alteo Gardanne et la mairie de Bouc-Bel-Air ont signé le 1er septembre 2015 une charte qui installe un dispositif participatif pour le suivi et la surveillance du site de stockage de Mange Garri
Alteo exploite 20% de la surface du site de Mange Garri pour la déshydratation des résidus de bauxite et leur stockage pour une valorisation future. Cet espace est constitué :
Grâce aux échanges avec les communautés environnantes et plus particulièrement avec les riverains du site de Mange Garri, Alteo Gardanne a déjà engagé un plan d’actions important pour réduire les envolements de poussières de résidus de bauxite
Un arrêté préfectoral complémentaire prescrit à Alteo de réaliser de nouveaux travaux afin de réduire les envolements de poussières sur le site de stockage de Mange Garri :
Alteo met en œuvre de gros moyens pour limiter les envolements de poussières vers les voisins du site de Mange Garri.
L’impact radiologique est recherché dans les poussières en suspension et dans le stockage des résidus. Deux premières études réalisées par Algade en 2011 et par Antea en 2013 avaient conclu à l’absence de risque radiologique lié au stockage de Mange Garri.
La Direction générale de la prévention des risques (DGPR), rattachée au ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, a sollicité, à deux reprises, l’expertise de l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN).
L’IRSN est l’expert public en matière de recherche et d’expertise sur les risques nucléaires et radiologiques. Il est placé sous la tutelle conjointe des ministres chargés de l’écologie, de la recherche, de l’énergie, de la santé et de la défense.
Les deux expertises de l’IRSN relatives aux émissions de poussières du centre de stockage de Mange Garri, en 2015 et 2016 sont arrivées aux mêmes conclusions :
L’impact radiologique sur les riverains du site de stockage de Mange-Garri est faible
Les valeurs sont largement inférieures (12 %) à la limite de 1 mSv/an fixée par le Code de la santé publique pour l’exposition de la population aux rayonnements ionisants due à des activités nucléaires.
L’Exposition moyenne aux rayonnements ionisants de la population en France est de : 4,5 mSv/an dont 2,9 mSv/an dus à des expositions aux sources naturelles. » Source : présentation par l’IRSN de son rapport aux membres de la Commission de suivi de site - septembre 2016.
Le suivi permanent des mesures de poussières
Alteo procède à un contrôle continu des retombées de poussières grâce à l’installation sur le site d’une dizaine de plaquettes. Les relevés sont effectués tous les quinze jours par l’Apave.
Air PACA, association agréée de surveillance de la qualité de l’air par le ministère de l’environnement prépare pour 2017, à la demande du préfet des Bouches-du-Rhône, un programme de surveillance destiné à mieux connaître l’impact du site de stockage de Mange Garri sur les teneurs et la nature des particules inhalables et sédimentables. Les résultats seront publiés en 2018.
Les démarches scientifiques menées par l’Observatoire Hommes Milieux du bassin minier de Gardanne
En parallèle des études règlementaires, des démarches scientifiques sur les poussières sont menées depuis plusieurs années par l’Observatoires Hommes Milieux du bassin minier de Gardanne (INEE, CNRS).
Parmi celles-ci une étude concerne les particules sédimentables et fines (PM2,5) autour du site de stockage de Mange Garri. Actuellement, la réglementation considère uniquement la concentration des particules. Cette étude consiste à identifier la forme chimique des particules - la spéciation - qui détermine leur toxicité potentielle ou leur non toxicité. Ceci afin de mieux apprécier leur éventuel impact sanitaire et environnemental.
Le site de Mange Garri est soumis à un nouvel arrêté préfectoral depuis le 16 novembre 2012. Au total 10 plaquettes de suivi ont été installées à l’intérieur et à l’extérieur du site. Le seuil réglementaire est passé de 1g/m2/jour à 0.5g/m2/jour.
Le graphique montre l’évolution des relevés de poussières effectués par un organisme externe APAVE tous les quinze jours sur ces 10 plaquettes.
De nombreuses actions ont été mises en œuvre pour réduire les envolements.
L’entreprise Alteo Gardanne et la mairie de Bouc-Bel-Air ont signé le 1er septembre 2015 une charte qui installe un dispositif participatif pour le suivi et la surveillance du site de stockage de Mange-Garri.
Ce dispositif a pour objectifs d’améliorer la compréhension des activités sur ce site de stockage et de faciliter les échanges avec l’ensemble des habitants de la commune.
Les deux comités citoyens créés par cette charte auront pour rôle d’aborder l’ensemble des enjeux environnementaux du site. En outre, le comité de riverains de Mange-Garri sera partie prenante dans le suivi et l’évaluation des actions visant à lutter contre les envolements de poussière.
Ce plan d’actions prévoit notamment un dispositif d’arrosage pour figer les poussières au sol, un programme de végétalisation, des essais d’encroûtage des sols et l’optimisation du plan de gestion du site afin de réduire la taille des zones à risque d’envolement.
Cette charte met également en place un dispositif d’alerte permettant aux Boucains de contacter directement Alteo en cas de problème sur le site.
Ainsi, cette charte, par le biais des deux comités, donne la possibilité à l’ensemble des citoyens de Bouc-Bel-Air de contribuer à l’amélioration de l’efficacité des dispositifs en place et à venir.
Alteo exploite 20% de la surface du site de Mange Garri pour la déshydratation des résidus de bauxite et leur stockage pour une valorisation future. Cet espace est constitué :
Grâce aux échanges avec les communautés environnantes et plus particulièrement avec les riverains du site de Mange Garri, Alteo Gardanne a déjà engagé un plan d’actions important pour réduire les envolements de poussières de résidus de bauxite
Un arrêté préfectoral complémentaire prescrit à Alteo de réaliser de nouveaux travaux afin de réduire les envolements de poussières sur le site de stockage de Mange Garri :
Alteo met en œuvre de gros moyens pour limiter les envolements de poussières vers les voisins du site de Mange Garri.
L’impact radiologique est recherché dans les poussières en suspension et dans le stockage des résidus. Deux premières études réalisées par Algade en 2011 et par Antea en 2013 avaient conclu à l’absence de risque radiologique lié au stockage de Mange Garri.
La Direction générale de la prévention des risques (DGPR), rattachée au ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, a sollicité, à deux reprises, l’expertise de l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN).
L’IRSN est l’expert public en matière de recherche et d’expertise sur les risques nucléaires et radiologiques. Il est placé sous la tutelle conjointe des ministres chargés de l’écologie, de la recherche, de l’énergie, de la santé et de la défense.
Les deux expertises de l’IRSN relatives aux émissions de poussières du centre de stockage de Mange Garri, en 2015 et 2016 sont arrivées aux mêmes conclusions :
L’impact radiologique sur les riverains du site de stockage de Mange-Garri est faible
« Conclusion de l’évaluation de l’enveloppe de l’impact dosimétrique par l’IRSN
La dose efficace annuelle est inférieure à
Les valeurs sont largement inférieures (12 %) à la limite de 1 mSv/an fixée par le Code de la santé publique pour l’exposition de la population aux rayonnements ionisants due à des activités nucléaires.
L’Exposition moyenne aux rayonnements ionisants de la population en France est de : 4,5 mSv/an dont 2,9 mSv/an dus à des expositions aux sources naturelles. » Source : présentation par l’IRSN de son rapport aux membres de la Commission de suivi de site - septembre 2016.
Le suivi permanent des mesures de poussières
Alteo procède à un contrôle continu des retombées de poussières grâce à l’installation sur le site d’une dizaine de plaquettes. Les relevés sont effectués tous les quinze jours par l’Apave.
Air PACA, association agréée de surveillance de la qualité de l’air par le ministère de l’environnement prépare pour 2017, à la demande du préfet des Bouches-du-Rhône, un programme de surveillance destiné à mieux connaître l’impact du site de stockage de Mange Garri sur les teneurs et la nature des particules inhalables et sédimentables. Les résultats seront publiés en 2018.
Les démarches scientifiques menées par l’Observatoire Hommes Milieux du bassin minier de Gardanne
En parallèle des études règlementaires, des démarches scientifiques sur les poussières sont menées depuis plusieurs années par l’Observatoires Hommes Milieux du bassin minier de Gardanne (INEE, CNRS).
Parmi celles-ci une étude concerne les particules sédimentables et fines (PM2,5) autour du site de stockage de Mange Garri. Actuellement, la réglementation considère uniquement la concentration des particules. Cette étude consiste à identifier la forme chimique des particules - la spéciation - qui détermine leur toxicité potentielle ou leur non toxicité. Ceci afin de mieux apprécier leur éventuel impact sanitaire et environnemental.
Le site de Mange Garri est soumis à un nouvel arrêté préfectoral depuis le 16 novembre 2012. Au total 10 plaquettes de suivi ont été installées à l’intérieur et à l’extérieur du site. Le seuil réglementaire est passé de 1g/m2/jour à 0.5g/m2/jour.
Le graphique montre l’évolution des relevés de poussières effectués par un organisme externe APAVE tous les quinze jours sur ces 10 plaquettes.
De nombreuses actions ont été mises en œuvre pour réduire les envolements.
L’entreprise Alteo Gardanne et la mairie de Bouc-Bel-Air ont signé le 1er septembre 2015 une charte qui installe un dispositif participatif pour le suivi et la surveillance du site de stockage de Mange-Garri.
Ce dispositif a pour objectifs d’améliorer la compréhension des activités sur ce site de stockage et de faciliter les échanges avec l’ensemble des habitants de la commune.
Les deux comités citoyens créés par cette charte auront pour rôle d’aborder l’ensemble des enjeux environnementaux du site. En outre, le comité de riverains de Mange-Garri sera partie prenante dans le suivi et l’évaluation des actions visant à lutter contre les envolements de poussière.
Ce plan d’actions prévoit notamment un dispositif d’arrosage pour figer les poussières au sol, un programme de végétalisation, des essais d’encroûtage des sols et l’optimisation du plan de gestion du site afin de réduire la taille des zones à risque d’envolement.
Cette charte met également en place un dispositif d’alerte permettant aux Boucains de contacter directement Alteo en cas de problème sur le site.
Ainsi, cette charte, par le biais des deux comités, donne la possibilité à l’ensemble des citoyens de Bouc-Bel-Air de contribuer à l’amélioration de l’efficacité des dispositifs en place et à venir.