On observe une abondance de crustacés à quelques mètres du point de rejet, la présence de poissons, des colonies de coraux sur la canalisation et de nombreuses autres espèces de la macrofaune sur les fonds marins.
Lors des études sur l’impact du rejet, les scientifiques ont systématiquement retenu les hypothèses les plus pénalisantes : conditions météo les plus extrêmes, tests laboratoires les plus sensibles.
A la sortie de l’usine, le suivi chimique des effluents est réalisé régulièrement par le laboratoire interne d’Alteo et par un laboratoire agréé par l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. Des contrôles inopinés sont également effectués par un laboratoire désigné par la DREAL PACA . Les données sont consultables par le public sur le site du Registre français des émissions polluantes.
Dans la continuité du programme de suivi historique, le nouveau suivi du milieu marin est adapté aux caractéristiques du rejet actuel selon les préconisations préfectorales et celles du CSIRM . Il étudiera le comportement du rejet, ses effets, son évolution dans l’environnement dont la restauration du milieu. Il sera mené tous les 5 ans. La première campagne en mer est programmée pour août 2016.
De même, dans son rapport, l’Anses n’a pas identifié de différence de qualité entre les poissons pêchés dans la zone des rejets et ceux pêchés ailleurs en Méditerranée.
Avec l’arrêt des rejets de résidus solides le 31 décembre 2015 et en prenant des hypothèses surestimant le risque*, les nouvelles études ne montrent pas d’impact notable du rejet actuel sur la qualité des poissons.
*Par exemple : que les personnes consomment toute leur vie des poissons provenant exclusivement du canyon de la Cassidaigne ; que les poissons consommés passent tout leur cycle de vie à proximité du rejet, etc.
L’Anses ne remet pas en cause cette conclusion.
On observe une abondance de crustacés à quelques mètres du point de rejet, la présence de poissons, des colonies de coraux sur la canalisation et de nombreuses autres espèces de la macrofaune sur les fonds marins.
Les études scientifiques extrêmement poussées menées pendant 4 ans sur ce rejet, alimentées par les nombreux suivis réalisés depuis plus de 20 ans, concluent toutes à une absence d’effet notable sur le milieu.
Lors des études sur l’impact du rejet, les scientifiques ont systématiquement retenu les hypothèses les plus pénalisantes : conditions météo les plus extrêmes, tests laboratoires les plus sensibles.
A la sortie de l’usine, le suivi chimique des effluents est réalisé régulièrement par le laboratoire interne d’Alteo et par un laboratoire agréé par l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. Des contrôles inopinés sont également effectués par un laboratoire désigné par la DREAL PACA . Les données sont consultables par le public sur le site du Registre français des émissions polluantes.
Dans la continuité du programme de suivi historique, le nouveau suivi du milieu marin est adapté aux caractéristiques du rejet actuel selon les préconisations préfectorales et celles du CSIRM . Il étudiera le comportement du rejet, ses effets, son évolution dans l’environnement dont la restauration du milieu. Il sera mené tous les 5 ans. La première campagne en mer est programmée pour août 2016.
Les métaux dissous se transforment au contact de l’eau de mer sous une forme solide non assimilable par les organismes (comme les métaux contenus dans les roches de l’écorce terrestre). Le rejet d’eau contient 99,95% de métaux en moins que le rejet historique de "boues rouges".
Les études réalisées depuis de nombreuses années n’ont pas permis d’identifier d’impact notable du rejet historique sur la qualité des poissons présents dans le canyon de la Cassidaigne.
De même, dans son rapport, l’Anses n’a pas identifié de différence de qualité entre les poissons pêchés dans la zone des rejets et ceux pêchés ailleurs en Méditerranée.
Avec l’arrêt des rejets de résidus solides le 31 décembre 2015 et en prenant des hypothèses surestimant le risque*, les nouvelles études ne montrent pas d’impact notable du rejet actuel sur la qualité des poissons.
*Par exemple : que les personnes consomment toute leur vie des poissons provenant exclusivement du canyon de la Cassidaigne ; que les poissons consommés passent tout leur cycle de vie à proximité du rejet, etc.
Le rejet ne constitue aucun risque sanitaire pour les plongeurs et baigneurs.
L’Anses ne remet pas en cause cette conclusion.